Les membres fondateurs

Sophie Laneau

Institutrice spécialisée

Tant que j’ai un but, je suis en vie ! 

M’engager, m’investir dans mon travail au quotidien avec des enfants présentant des troubles moteurs et/ou mentaux me nourrit depuis une dizaine d’année.  

Partie du constat que la dyspraxie demande la mobilisation d’outils spécifiques que mon école ne possède pas encore, j’ai d’abord décidé d’entamer des démarches pour obtenir des ordinateurs portables. Lorsque j’en ai parlé à Sandra, elle fut touchée par la problématique que nous vivions. Nous nous sommes donc penchées sur les différentes alternatives qui pouvaient répondre  à ma réalité de terrain.   

Sandra Bertrand

Informaticienne

Se lancer des défis et persévérer, c’est moi ! 

 De nature persévérante, la difficulté, le travail, l’énergie et l’investissement ne me font pas peur. 

Plus qu’aimer les challenges, j’ai besoin de challenges. Le raid Cap Fémina en est un premier, que ce soit dans l’aventure ou dans sa préparation. 

Mais comme tout parent, je suis sensible à l’enfance et à l’injustice. L’injustice de ne pas naître égaux, l’injustice de ne pas partir avec les mêmes chances dans la vie.  Tout ceux qui me connaissent savent qu’il ne faut pas mettre un éléphant bancal sur ma route, je suis capable de l’accueillir et de le soigner !

S’investir n’a de sens qu’avec un objectif altruiste. Déjà à 23 ans je parcourais le monde et je partais avec 40 kg de médicaments pour un hôpital en Inde.

Quand Sophie m’a fait part de la réalité des enfants dyspraxiques, ni une, ni deux, ce fut une évidence de joindre nos forces et notre optimisme pour ce lancer ce deuxième challenge qu’est notre ASBL.

Je vais pouvoir tester de nouvelles limites et les dépasser, tout en représentant des valeurs qui me ressemblent, telles que le partage et la générosité.

 

Jean-Yves Dupuis

Informaticien, Architecte d’Entreprise

Une nouvelle aventure ? Je suis partant !

Lorsque Sandra et Sophie m’ont fait part de leur envie de participer au Cap Femina, je ne me suis pas senti concerné outre mesure. Mais lorsqu’au fil des discussions l’idée de créer une ASBL pour venir en aide aux enfants défavorisés ou handicapés, et plus spécialement atteint de dyspraxie, il est devenu évident pour moi que je devais en faire partie.

A 54 ans, j’ai besoin de nouveaux objectifs, de nouveaux combats, et si mon expérience peut faire en sorte que cette aventure et cette ASBL soient un succès, c’est avec plaisir que j’y consacre mon temps libre. 

 

Share This